Le geste du semeur est vraiment celui de l’espérance : ce n’est peut-être pas très manifeste pour nous, générations actuelles, mais autrefois, c’est au moment où il restait peu de grains pour la nourriture quotidienne, qu’il fallait en sacrifier une partie pour la jeter en terre, à la merci du gel, des ravageurs, de la sécheresse… parce que malgré tout, on savait la graine porteuse de toute la récolte de l’année à venir, pleine de la vie à venir.

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